Hélène Roulot-Ganzmann
7 novembre 2009
Le Devoir
« Monique C. Cormier propulse la langue française dans l’avenir »
« Si nous vivons aujourd’hui en français, la pression de l’anglais reste constante, et il incombe à chaque Québécois de faire vivre cet héritage. La récipiendaire du prix Georges-Émile-Lapalme veut «nommer le monde». »