Monique C. Cormier
Le Devoir
« Parce que, tel un cardiologue, l’Office québécois de la langue française traite du cœur même de l’identité québécoise, la langue française, ses interventions provoqueront toujours une gamme de réactions allant de l’approbation à la réprobation, comme c’est le cas pour la politique de l’emprunt linguistique adoptée en janvier 2017. »
« Au-delà des arguments sensés qu’on peut avoir de part et d’autre, je dois dénoncer cependant les accusations qui cherchent à miner la crédibilité de l’Office : retour à la case départ des années 1960, ouverture des vannes à l’accueil des anglicismes, détournement de la mission, asservissement volontaire et, bien sûr, tout cela, en “catimini”, car ce sombre complot ne pouvait se tramer ouvertement. »